Je suis à la salle de sport en train de m’entraîner et mon téléphone vibre, cassant la chanson que j’écoute. Je le consulte et je vois une photo de toi dans cette robe, recroquevillée sur notre canapé. J’admirais vraiment quelques filles très en forme, mais en regardant ta photo, je sais que je préférerais de beaucoup, beaucoup, beaucoup te baiser plutôt que n’importe laquelle d’entre elles. Je finis de m’entraîner, mon cœur bat la chamade, je sens la testostérone qui circule dans mon corps. Alors que je termine mon dernier set, mon téléphone se remet en marche et c’est toi, les jambes écartées, avec un message : rentre vite à la maison ou je finirai sans toi et petit visage boudeur.
En fait, je ris à gorge déployée et je dessine quelques regards alors même que je sens ma bite palpiter jusqu’à un demi dans mon short fin et ample. En prenant ma serviette, je descends et j’arrache mon sac de mon casier pour t’envoyer un SMS : J’arrive, ne t’avise pas de finir mon petit jouet.
Je rentre à la maison en portant cette robe enroulée sur le canapé. Je suis en sueur depuis le gymnase et je te vois ricaner. Tu sais que tes taquineries me rendent fou. La vue de toi me fait un sourire malicieux quand je marche vers toi. “Lève-toi !”
Alors que tu te tiens debout, je marche vers toi, j’enroule ma main autour de ta gorge et t’embrasse fort, ma langue se battant contre la tienne alors que je sens que tu presses ton corps contre le mien, ta main frottant ma poitrine. Ma main libre est sur ton cul, le serrant fermement et te soulevant sur tes orteils. Je chuchote à ton oreille : “Tu baises avec moi maintenant, petite allumeuse.”Plan cul après échange de photos
Je te pousse à genoux sur le canapé, face à moi ; tu remues ton cul vers moi et je lutte pour ne pas rire de la putain d’évidence que tu es. Au lieu de cela, je soulève ta robe sur ton cul et je te donne une fessée, en grognant avec l’effort, “Tu as été un vilain petit enculé et je vais te baiser pour que tu te conduises mieux.”
Tu me sens m’installer derrière toi et la tête de ma grosse bite dure se presse contre ta chatte. En t’attrapant le cul et en t’écartant les joues, je gémis : “Maintenant, putain, supplie pour ma grosse bite, ma petite salope.”
Pendant que tu gémis et que tu pleurniches, je claque au fond de toi, d’une longue et dure poussée, possédant ta chatte serrée avec ma bite. Je t’étire et te remplis complètement, mon cœur battant encore à la gym alors que mes mains entourent ta taille et te tirent dans ma bite à chaque poussée. Mon esprit repense à toutes les fois où je t’ai baisé, t’entraînant à prendre ma bite à fond.
Ma main caresse ton dos, tu sens qu’elle rassemble tes cheveux puis les tire en arrière, ton cul en l’air, et le son du claquement de mes cuisses contre elle remplit l’air. En te tenant par les cheveux, je te frappe de plus en plus fort, tes taquineries de tout à l’heure me font te baiser sans relâche. Ma main de rechange atterrit sur ton magnifique cul, le rendant rouge pendant que je baise ta douce chatte.
Ton serrement serrant ma bite, je te tire avec ma main autour de ta gorge et je gémis dans ton oreille, “Je vais jouir dans ta petite chatte chaude mais tu vas tout avaler après”.
Mes couilles se resserrent alors que je me sens prêt à jouir. En poussant plus profondément et plus fort à l’intérieur de toi, je jouis fort. Charge après charge de sperme épais, au fond de ta chatte. J’enduis tes murs de mon sperme, ma main serrant ta gorge. “Mmmm, bon petit enculé.”
Je te lâche sur le dos et je me retire pendant que je te regarde enfoncer tes doigts dans ta bouche et me vider de mon sperme, en poussant tes doigts dans cette bouche chaude et en aspirant mon sperme de tes doigts pendant que ma bite bouge devant toi et que je souris : “Bonne fille.”
Assis à côté de toi sur le canapé, je mets mon bras autour de tes épaules pendant que tu te recroquevilles sur ma poitrine, mes doigts traçant le long de ton dos. Tu te tortilles et tu t’allonges sur mes genoux en me regardant, la sueur brillante de ton sourire. En te souriant, je passe mes doigts sur le haut de tes seins, puis sur ta clavicule et jusqu’à tes lèvres. “Il est temps de te mettre sous la douche, ma belle”.