Toute la journée, j’avais joué avec le feu. Entre deux mails, entre deux coups de fil, je lui avais envoyé des photos suggestives, ma poitrine débordant de mon soutien-gorge, ma culotte légèrement tirée pour qu’il entrevoie ce qui l’attendait. Des sextos explicites, crus, juste de quoi lui rappeler que ce soir, il allait me posséder. Chaque vibration de son retour me confirmait que je l’excitais à distance, que je le tenais, que j’allumais en lui ce besoin animal que j’adore retrouver.
Quand la porte d’entrée a claqué, je savais qu’il était déjà dur dans son pantalon. J’étais dans la cuisine, à moitié penchée contre le plan de travail, un débardeur léger sans soutien-gorge, une jupe courte qui ne cachait presque rien. Pas de culotte, bien sûr. Je voulais qu’il me prenne comme un animal, sans temps mort, sans préliminaire.
Il est entré. Ses yeux brûlaient. Je n’ai même pas eu le temps de dire un mot. Il m’a agrippée par la taille, m’a plaquée contre le frigo avec une brutalité délicieuse. Ses mains ont remonté ma jupe d’un geste sec, découvrant mes fesses déjà prêtes. Son souffle court frappait ma nuque, sa queue raide me cognait contre la cuisse à travers son pantalon. L’odeur de sa sueur de la journée, mélangée à son parfum, m’a enivrée. J’ai gémi d’impatience.
Il a ouvert sa braguette, a sorti sa bite gonflée et sans même vérifier si j’étais prête, il s’est enfoncé en moi d’un seul coup, brutal, profond. J’ai crié, mes ongles se plantant dans le métal froid du frigo. Ma chatte coulait déjà, trempée par l’attente, par mes fantasmes répétés depuis ce matin. Le choc a été violent, jouissif. Sa bite me remplissait, cognait contre mon col, et je savais qu’il n’y aurait pas de douceur, seulement une baise animale.
Ses coups de reins claquaient, rapides, puissants, son bassin frappant mes fesses nues dans des claquements sonores. Le bruit se répercutait dans toute la cuisine, se mêlant à mes gémissements étouffés et à ses grognements. Mon cul brûlait de chaque pénétration, mes cuisses tremblaient déjà. Il me tenait par les hanches, me tirant vers lui pour s’enfoncer encore plus profondément, sans me laisser une seconde de répit.
Je sentais sa sueur perler, tomber sur ma nuque. Mon ventre frottait contre le frigo froid, ce contraste électrique entre le métal glacé et la chaleur de sa queue en moi me rendait folle. Je frottais mon clito contre le rebord du plan de travail pour amplifier encore mes sensations. Mon jus dégoulinait le long de mes cuisses, imbibant mes bas restés en place.
Il m’a retournée d’un geste sec, me plaquant dos au plan de travail cette fois. Mes seins lourds jaillissaient de mon débardeur, mes tétons durs tendus vers lui. Il les a mordus sans douceur, aspirant mes mamelons jusqu’à me faire crier. Sa bite s’est enfoncée à nouveau, cette fois en levrette improvisée, mes mains agrippées au bord du plan de travail. Je me cambrais, le cul offert, sa queue cognant au fond avec un bruit obscène.
L’odeur de sexe emplissait déjà la pièce : ma chatte mouillée, son gland luisant, nos corps trempés. J’ai senti l’orgasme monter, brutal, incontrôlable. J’ai joui en criant, mes cuisses se contractant autour de lui, ma chatte serrant sa bite avec frénésie. Mais il n’a pas ralenti. Il me baisait toujours, me pilonnait, comme s’il voulait m’user, m’achever.
Je me suis mise à genoux, incapable d’attendre plus. J’ai attrapé sa queue luisante et je l’ai avalée, mes lèvres serrées, ma langue tournant autour de son gland. Ma bouche était avide, gourmande. Sa main a saisi mes cheveux, guidant ma gorge sur toute sa longueur. Je sentais son odeur musquée, le goût salé de mon propre jus mélangé au sien. Il vibrait dans ma bouche, sa queue gonflée prête à exploser.
Il m’a retirée d’un geste, m’a redressée et a enfoncé à nouveau sa queue en moi, me prenant debout, mes fesses claquant contre ses cuisses dans des coups secs. Je n’étais plus qu’un corps offert, une chatte trempée, un cul tendu. J’adorais ça, être sa baise, rien d’autre.
Ses râles se sont faits plus graves, son rythme plus saccadé. J’ai senti son sperme jaillir au fond de moi, brûlant, puissant, me remplir jusqu’à couler le long de mes cuisses. Mon ventre vibrait encore de spasmes, mon corps tremblait, épuisé, comblé.
Il s’est retiré, haletant, le sexe encore gonflé, et je me suis laissée tomber contre le plan de travail, la jupe relevée, les cuisses écartées, le jus chaud dégoulinant de moi. La cuisine sentait le foutre, le sexe, la sueur. Exactement ce que j’avais cherché toute la journée en lui envoyant ces sextos.
Ce n’était pas de l’amour. Pas de tendresse. Juste du sexe, brut, sauvage, exactement comme je le voulais. Et putain, qu’est-ce que ça faisait du bien.
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