Le soleil filtrait à travers les branches du marché en plein air, teintant l’air d’une lumière chaude. Isabelle avait choisi une robe légère, un tissu fluide qui effleurait ses grosses seins, et respirait le parfum de citron vert tandis qu’elle s’attardait devant un étal de légumes. Lorsqu’il lui toucha l’épaule, son contact la glaça malgré la chaleur : un professeur de yoga aux bras musclés, barbe taillée et regard perçant. « Vous voilà ! » dit-il avec une douce ironie, comme s’ils se connaissaient depuis toujours. Son souffle chatouilla son cou alors qu’il lui montrait un lot d’avocats parfaits pour la préparation de sa séance. Elle sentit ses doigts effleurer les siens – des sensations électriques.

Ils firent quelques pas, parlant d’exercices respiratoires et de positions exigeantes. Il lui expliqua comment « écarter ses fesses » pour un pigeon parfait ; elle rougit en imaginant sa chatte rasée. Quand il rit doucement, son rire résonna comme un glas dans l’air immobile. Elle se pencha vers lui, feignant de ne pas comprendre ses conseils, et il posa une main brûlante sur son dos, pressant son bassin contre le sien. « Il faut aligner les hanches », murmura-t-il contre sa tempe. La tension montait comme un tourniquet.

Le lendemain, Isabelle se retrouva dans sa classe de yoga, son mari absent pour une réunion tardive. Son professeur exigea qu’elle s’étire en « chien tête basse », ses fesses bombées vers le plafond. Il passa derrière elle, ses mains glissant sous la ceinture invisible de ses vêtements légers. « Plus bas… », souffla-t-il en lui pressant les reins. Elle gémit comme son pouce trouva son clitoris, qu’il caressa avec une précision experte. Son sexe dur et gonflé se raidit contre elle. La pièce bruissait de ses gémissements étouffés.

« Tu aimes ça ? » Il la renversa sur un tapis, son souffle emplissant son oreille. Ses doigts trouvèrent son anneau anal et s’y enfoncèrent lentement jusqu’à ce qu’elle se cabre. « Je veux voir ta chatte… », chuchota-t-elle, et il rit avant de la retourner pour l’embrasser avec force. Il lui arracha son string, dévoilant sa chatte rasée, et plongea ses dents dans son cou tandis que sa langue glissait entre ses cuisses.

Lorsqu’il se releva, elle se redressa pour l’embrasser avec une passion violente. « Je peux… », murmura-t-il en lui présentant un préservatif. Elle le prit dans sa bouche et commença à sucer son sexe avec force, avalant ses couilles sous des halètements rauques. Son sexe dur gonflait entre ses lèvres tandis qu’elle le suçait avec détermination. « Tu aimes le sexe oral, hein ? » Elle grogna une réponse incompréhensible, écrasant sa tête contre son bassin pour se rapprocher encore.

Elle gémit comme il la retourna à nouveau sur le ventre. « Vas-y doucement… », supplia-t-elle quand il plongea un doigt dans son cul serré. Il rit et enfonça un second, ses mains enserrant sa taille tandis qu’il lui tapait les fesses avec force. « C’est tellement bon… », gémit-il, et elle se sentit possédée par le besoin de lui donner plus. « Attends… », chuchota-t-elle avant d’agripper son sexe entre ses cuisses et de le masturber avec une vigueur frénétique.

« Non ! » Il l’attrapa par les hanches, la renversa et enfonça sa queue dans son cul avec force. « Aie… », gémit-elle tandis qu’il plongeait vers son col de voute, ses coups durs et violents la projetant vers le plaisir. « Je te sens… », murmura-t-il, et il s’enfonça plus profondément encore, ses mouvements rapides comme des coups de marteau.

Isabelle cria en sentant son sperme gicler dans son cul tandis qu’il se retirait pour lui présenter une autre queue. « Encore… », supplia-t-elle alors que son ami lui écarta les jambes et la pénétra de son sexe. Les deux hommes lui firent l’amour à tour de rôle, leurs cris mêlés aux siens, leurs queues se relayant dans ses fentes jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse.